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Bouabdellah Tahri Prépare les JO de Rio.
Il est meurtri, très agacé par les on-dit. Pourtant, depuis plusieurs mois, il ne souhaite plus répondre à la presse régionale. « J’entends que je ne cours plus, que je suis fini. Ça me rend fou. Rassurez-vous, je cours. Je m’entraîne seize fois par semaine. J’enchaîne jusqu’à 250 km hebdomadaires. Je rentre d’un stage à Vittel et le reste du temps, j’étais au Kenya. » Lire la suite ici
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